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Teardrop : mais que sont ces engins que l'on voit de plus en plus sur les routes ?

 Depuis quelques années, on voit apparaître de drôles de petites remorques en forme de goutte d’eau. Les Teardrop - c’est leur nom - sont idéales pour le vacancier nomade qui ne veut pas s’encombrer d’un camping-car. Découverte.

La caravane Teardrop est née aux États-Unis à la fin des années Trente.

Le plus souvent, ce sont les campeurs qui la construisaient eux-mêmes en partant de plans diffusés dans des revues comme "Popular Mechanics". C’était avant l’essor des grosses caravanes.

Teardrop, donc, c’est une larme. Elle est facile à identifier grâce à sa forme arrondie qui se rétrécit vers l’arrière, une forme de goutte qui tombe. La partie avant sert au couchage et la partie arrière abrite une petite cuisine.

 

Simple et légère

Les Teardrop sont les caravanes les plus petites. La plupart font 2,50 m de long pour 1,50 m de large, mais parfois moins. La Teardrop est facile à tracter.

Pas besoin de 4x4, de moteur puissant et coupleux puisque le poids à vide est d’environ 450 à 550 kg pour un PTAC de 700 à 750 kg. On trouve même des modèles tractables par des motos ou des vélos ! Là, le poids peut passer à 40 kg… 

À l’intérieur, de quoi assurer le couchage pour deux sur les plus grandes, l’essentiel étant de dormir au sec et à l’abri du vent. Une marque française propose même une table intérieure.

Le permis B suffit

Avec des modèles dont le PTAC (poids total autorisé en charge) est limité à 750 kg, voire moins, les Teardrop peuvent être tractées avec le seul permis B.

Pour rappel, le PTAC total, c'est à dire celui du véhicule ajouté à celui de la caravane, ne doit pas dépasser 3 500 kg.

Lorsque le PTAC dépasse cette valeur, il faudra être muni d'un permis B96, B3, C1E ou E.

La caravane, qui peut être tractée par une voiture ou une camionnette, a l’énorme avantage de ne pas offrir une prise au vent importante et de limiter ainsi la consommation de carburant.

constat partagé par différents types de clients. "On a vendu nos appareils aussi bien à nos clients habituels, dans l’industrie, qu’à des PME, des banques ou des immeubles de bureaux. Tous partageant un but: protéger les employés et/ou les clients, de par un premier tri rendu possible. Et ce, "parce qu’on ne parle ici d’un prototype comme certains en ont mis sur le marché. Notre solution est opérationnelle"